> petites et grandes histoires > le Canada > la miellerie




A ma connaissance, beaucoup de changements sont intervenus dans cet équipement depuis les années 80, il conviendrait donc plutôt d'écrire ce texte au passé...
De plus, à la vérité, je n'ai pas travaillé au poste d'extraction qui était tenu par des Québécois du cru, mon travail se déroulant essentiellement dans les ruchers.





Une machine à désoperculer pourvue de rouleaux à "griffes", un grand convoyeur avec un tamis dans le fond afin de laisser les opercules s'égoutter.

Un premier extracteur et très vite un deuxième au regard de la très belle récolte de trèfle blanc qui s'annonçait...






Remarquez le système qui régule l'entraînement de la cage d'extracteur : deux disques sont positionnés perpendiculairement et c'est en déplaçant le disque entraîneur plus ou moins prêt de l'axe central de la cage que l'on parvient à faire évoluer la vitesse de rotation.











Voici le détail des rouleaux qui permettent de désoperculer les cadres de miel.























A la sortie des extracteurs le miel est pompé tout en haut dans un premier bac décanteur.













Un filtre assure ensuite l'élimination des dernières impuretés.

















Le miel s'écoule ensuite par gravité dans des cuves, et après quelques heures on peut remplir des "chaudières" (sortes de grands seaux de plusieurs dizaines de livres... euh kilos).










Pour finir, les "Chaudières" sont stockées dans le local contigu.

> petites et grandes histoires > le Canada > la miellerie